Collection Échangisme. Mon Tonton M’Entraine Dans Son Monde Libertin (3/3)

• Choisi, la tenue sexy pour ton intronisation dans ta nouvelle vie que tu vas débuter samedi Claire...

C’est mon souteneur qui me dit ces mots lorsqu’il m’entraîne dans une boutique de vêtements très chics dans la rue piétonne de notre ville.
Cette boutique combien de fois l’ai-je regardée sans jamais pensé y entrer.
Être une pute à de bons côtés et tous ce que m’a promis Freddy va me permettre d’être sienne.
Quand je dis pute, c’est par jeu, je suis devenue la maîtresse de mon tonton et parrain dès son retour des USA.
J’ai eu un peu de retenue au départ lorsqu’il est venu dans ma chambre, mais rapidement sous les assauts de sa queue, j’ai rendu les armes pour mon plus grand plaisir.
Avoir dit leurs quatre vérités à mes parents, montrant ainsi à Freddy que je suis une rebelle comme lui l’a été six ans plus tôt.
À cette époque j’étais une petite fille boutonneuse ce qui m’a remplie de joie et d’assurance.
Voiture, appartement, 10 000 € par mois, qui est capable de posséder tout ça simplement après m’être donné à lui.

• Essayez cette robe, mademoiselle, elle a été déciné pour vous.
Monsieur, vous avez bon goût.

Je vais dans la cabine, je sais moi aussi que cette robe même si elle est légèrement osée va faire de moi une autre moi.
10 000 € tous les mois, je vais pouvoir venir de temps en temps ici, me consti ma nouvelle garde-robe.
Tonton me choisit cette robe pour ma soirée si mystérieuse, dont j’ignore tout, mais dont je fais confiance à parrain pour qu’elle soit à la hauteur de ce qu’il m’a déjà fait beaucoup de choses.
« Tu peux te le carrer au cul », quel plaisir ai-je eu à dire ces mots à mes faux culs de parents aussi bien père que mère.
C’est au repas du soir que l’orage éclate de nouveau.

• Freddy, à quel jeu joues-tu ?
C’est toi qui as transformé notre fille en petite trainée.
• Je dirais même en petite pute, regarde les fringues qu’il a dû lui acheter !

Maman a raison, en plus de la robe qui me sera livrée demain, j’ai essayé un petit ensemble short et body mettant mes seins en valeur.


Le tout avec des chaussures à lanière finissant le nouveau look que je souhaite adopter.
Il a fait une carte, mais comme les prix m’ont été cachés, j’ignore combien ces petites merveilles lui coûtent.

• Maman, qui est la pute des deux, moi je m’assume tel que je veux être alors que toi comme papa d’ailleurs, c’est dans votre dos que vous vous trahissez.
À votre place, j’aurais bien des remords à avoir accepté cette vie de minable que vous vivez.
• Claire quitte notre table, nous accepterons que tu y reviennes quand tu seras revenue à de meilleurs sentiments et que tu auras remis les affaires que tu portais jusqu’à ce jour.
Freddy fait tes affaires toi aussi et quitte notre toit, tu es parti il y a six ans, tu aurais mieux fait de rester vers ta vieille peau.
• Claire, vient, nous allons dans ta chambre, ils pourront appeler les flics, jusqu’à ta majorité.
Ils te doivent gîte et couvert sinon, tu pourras leur faire un procès.
• Attends ma fille, mais c’est ignoble, tu couches avec ton oncle, tu es vraiment une salle traînée.
• Maman, je suis sûr qu’avant son départ ta chatte rêvait qu’il te baise étant plus jeune que papa et nettement mieux gaulé.
• C’est ignoble, certes, je trompe ton père qui est loin de me satisfaire sexuellement mais les pensées que tu me prêtes sont inadmissibles.
• Joelle, souviens-toi, Claire à raison, la machine à laver dans la salle de bain, c’est bien toi qui l’as démarré, tu disais que ça excitait ta libido.
• Freddy une fois, une simple petite fois, depuis j’ai des remords de t’avoir trompé avec ton frère mon chéri.

Je me lève, je vois papa baisser la tête, il est né soumis et pleutre, même quand il apprend qu’il est cocu par son frère dans sa propre maison, il baisse son froc.
D’un autre côté, Freddy m’a caché la vérité lorsqu’il a parlé du tablier de sapeur de maman.
C’est lorsqu’elle était perchée sur la machine à laver qu’il a dû lui bouffer la chatte.

La mère et dès la porte passée, la fille, car mes fringues tombent et c’est ma chatte épilée à qui il donne du plaisir.
Contrairement à la nuit dernière inutile de me cacher, inutile de leur cacher que leur fille est une salope, c’est tellement bon et bien fait que j'en hurle de plaisir.
Au matin, j’ai dû réveiller mes géniteurs deux ou trois fois, quand je descends.
Freddy m’a quitté, même abandonné je dois dire, mais pour la bonne cause.
Il avait pris rendez-vous avec le notaire de son père qui doit mettre en musique toutes les promesses qu’il m’a faites jusqu’à l’ouverture de la boîte aux lettres me permettant de toucher légalement mon pognon chaque mois.
Le soir, c’est dans la ville voisine qu’il m’emmène manger au restaurant après que nous soyons passés chez le plus grand coiffeur, changer ma tête.
Quand j’ai quitté le salon et que je me suis vue en pied dans la glace du magasin, c’est une tout autre femme que je suis devenue.
Enfin, je me prépare pour aller rencontrer ce que Freddy me cache.
Moto arrêtée, il sonne à la porte d’une propriété entourée de hauts murs et un portail hermétique fermé.
Devant de nombreuses voitures toutes haut de gamme.

• Freddy, enfin te voilà, lorsque tu m’as appelé pour m’annoncer ton retour et que tu viendrais accompagné d’une amie, j’ignorais qu’elle était si belle.
Mais dit moi, je la connais, c’est la fille de ton frère, je me souviens il y a combien déjà, sept ans, elle était encore une adolescente boutonneuse.
Entrez, tous mes invités sont là, tu en connais la plupart.
Tu sais dans notre milieu, si nous sommes infidèles, nous sommes très conservateurs.
• Anne, je suis content de te revoir, oui c’est ma filleule Claire, ce soir elle a dix-huit ans et je veux que tu la prennes sous ton aile.
On va t’expliquer ce que ses parents voulaient lui imposer tout comme les miens l’on fait il y a six ans.
Avec son aide j’ai réussi à faire tout capoter.


Anne est en maillot de bain deux pièces blanches, magnifique femme rousse la trentaine elle aussi.
Ses seins débordent de son haut de maillot et c’est en me prenant sous le bras que nous contournons la maison.

• Voilà l’un des lieus que je voulais te faire connaître, celui que j’ai quitté par obligation pour fuir cette famille qui base tout sur le fric.
Ces personnes sont tous des libertins ou si tu préfères des échangistes.

Nous arrivons près d’une piscine, un buffet est à la disposition de chacun.
Des femmes et des hommes bien mis, mais aussi des femmes ou des hommes un peu rondouillards.
Bref, une panoplie de personnes de qualité qui semblent aimer vivre.
Pour exemples dans la piscine, une femme, pesant son poids, est entourée de deux hommes qui profitent de l’eau pour lui donner du plaisir.

• Claire, tu vois cette femme, elle s’assume et son mari aussi, c’est le grand maigre qui est assis sur la margelle et qui la regarde se faire prendre par ces deux hommes.

C’est Anne qui me dit ces mots, son bras touche mon sein et cela me fait de l’effet, je sens que ma petite culotte rose coule d’envie de mieux connaître le monde de Freddy.

• Veux-tu une coupe de champagne Claire ?
• Non, je préfère être entièrement lucide pour découvrir votre monde.
• C’est très bien, si tu es saoule demain, tu pourrais regretter de t’être laissée aller.
Asseyons-nous sur ce canapé de jardin.

Nous nous installons, ma jupe remonte plus que de raison et ma culotte se trouve certainement visible d’un grand nombre d’invités mâles et femelles.

• Freddy m’a appelé pour m’annoncer son retour pour quelques jours.
Je sais que malgré votre lien de parenté tu es sa maîtresse, mais tu dois faire attention à lui, Freddy est une étoile filante ici un jour, là le lendemain.
Regarde-le, avec Gisèle, ils ont été amant comme je l’ai été moi aussi jusqu’à ce qu’il fiche le camp de votre famille pour les USA.


Tout en parlant Anne me pose sa main sur ma jambe dénudée.
Malgré la chaleur et celle qui monte entre les personnes présentes, je frissonne pour la première fois sous cette main de femme.
Lorsqu’elle prend mes lèvres, c’est une jeune femme pleinement conquise qui s’offre à elle.
Surtout que Freddy comme s’il voulait me tester part vers la maison avec la dénommée Gisèle.

• Viens rejoignons-les, une petite partie carrée, ça te montrera qui nous sommes nous les échangistes.

Par la suite, la chambre où nous entrons je devrais savoir que c’est celle d’Anne.
Freddy et elle se sont connues lorsqu’elle faisait ses études de médecine avant qu’elle ait à ce jour un cabinet dans le centre de notre ville.
Se faire lécher la chatte, par Gisèle pendant qu’Anne vous mange les seins m’exite au plus haut point.
La langue de cette jeune femme m’apporte mon premier orgasme vite étouffé quand Freddy me met sa verge dans la bouche.
À un moment dans l’imbroglio de jambes, de bras, de têtes, de langues on me demande l’autorisation de plonger une verge dans mon vagin détrempé.
C’est le mari de la femme que j’ai catalogué de grosse près de la piscine qui nous a rejoints.
C’est épuisé que je découvre pour ma première soirée le monde de Freddy.

Freddy, il s’est envolé me laissant avec Anne avec qui aucune fois je vais à une soirée libertine sans elle.
J’ai emménagé dans mon appartement et je fais mes études du mieux que je peux.
Anne veille au grain.
Une vraie mère poule pour moi, même quand je lui enfile Freddy dans son vagin certains soirs en tête à tête.
Freddy que nous avons complété avec une ceinture pour mieux nous prendre l’une l’autre, de vraies salopes.

Freddy, le sexe, nous téléphone de temps en temps, il chasse des images de gros animaux dans la savane en baisant des filles couleurs locales.
Ma famille, mes parents ont divorcé.
Mon père a épousé sa secrétaire qu’il fait cocu avec sa nouvelle secrétaire, situation fort logique.
Ma mère, je l’ai revue une fois, elle a rejoint un couvent et j’ai éclaté de rire lorsque je l’ai vu sa cornette sur sa tête.
J’ai failli lui demander si elle se gougnotait avec les autres sœurs comme je vais le faire certainement ce soir sur la terrasse de mon appartement.
Quarante personnes sont là, je vais vous laisser avec Anne nous avons repéré une jolie petite blonde nouvelle parmi nos invités.
J’aurais des choses à dire à celui qui a été mon sauveur de cette famille qui voulait faire de moi l’épouse d’un petit boutonneux.
Je parle de Freddy celui qui, lorsqu’il le désirera, refera de moi une libertine en sa présence.

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